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Un plan à 3 pour m’extraire de ma routine ?

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    Quentin
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      J’ai publié ce FR ailleurs (Date : 20 octobre 2012 à 21h31) mais j’ai décidé de le remettre ici.

      Mon idée fixe depuis un moment était de réaliser un threesome, si bien que je demandais à chaque fille que je rencontrais si elle était bi et s’il y avait moyen qu’on se fasse un plan à 3. Moi, ce que je voulais c’était 2 filles pour moi tout seul car je n’avais encore jamais goûté à ce fruit défendu. Cela faisait longtemps que je n’étais pas sorti un vendredi soir (même si tout est relatif), il fallait donc fêter dignement ce retour aux sources.

      Mon pote Hafid me rejoignit chez moi afin de se mettre en bouche, vite rejoint par 2 autres potes. On se mit en route direction la Verrerie. Je fis quelques photos avec Hafidou et d’autres filles mais il y avait beaucoup de gamines. Sur la piste de danse, je vis une petite blonde qui sortait du lot, en train de se dandiner. Je l’ai abordée en lui disant qu’elle n’avait pas l’air d’avoir 18 ans, et je me demandais donc ce qu’elle faisait dans cet endroit. Elle ne parlait pas bien français, je fus obligé de me répéter pour qu’elle comprenne la blague.

      Elle était plutôt souriante. J’ai alors enchaîné en lui disant qu’elle n’avait pas l’air d’être française, et me répondit qu’effectivement elle est de je-ne-sais-plus-quel-pays-de-l’Est. Je lui demandai à combien ils étaient venus, si elle était toute seule ou bien s’il y avait un bus entier d’étrangers avec elle. Elle me montra ses amis qui étaient un peu plus loin. Mon pote représentant de la diversité passa à proximité, je lui ai attrapé la manche pour qu’il me prenne en photo avec ma cible. Ensuite, je l’ai fait danser le rock, puis collé-serré, j’ai tenté de l’embrasser dans le cou, c’est passé ; mais plus loin, ce n’est pas passé. Je lui ai mis mon boa autour du cou, je l’ai prise par la main et suis allé parler un peu aux autres personnes en la présentant. Il y eut beaucoup d’indicateurs d’intérêt de sa part, mais bizarrement, je ne suis pas arrivé à aller plus loin. Pas de kiss possible, en tout cas. J’essayais de la faire bisquer en lui disant qu’on allait aller dans une vraie boite où on fait vraiment la fête, elle m’a répondu qu’elle devait rester ici. Elle ne comprenait pas grand-chose et avait l’air de se méfier de moi. Pour la punir, je n’ai même pas essayé de prendre son numéro.

      J’ai ensuite abordé un groupe en demandant à la fille si ce qu’elle buvait était bon et si je pouvais goûter mais je me fis recevoir au lance-flammes… Bizarrement, pas un seul copilote ne s’est pointé pour me sortir de ce mauvais pas… on était pourtant venus à 4 !

      Ensuite, je suis allé danser sur le podium pendant qu’Hafid me mitraillait avec son appareil photo. A un moment, il me fit remarquer que le groupe qui m’avait envoyé chier n’arrêtait pas de me regarder. On a fait une dernière série de photos avec quelques bombasses puis on s’est cassés dans le 3ème bar de la soirée. J’avoue que je me souviens à peine y être allé… En arrivant, il s’est fait kiss par une petite blonde. Elle était accompagnée d’une brune tout à fait à mon goût et on a passé le reste de la soirée à essayer de les charmer mais c’étaient des filles extrêmes en conditions extrêmes… Finalement, je pense que la blondinette avait juste envie de rouler une pelle au « photographe de la soirée » (Hafid se fait passer pour ça) pour se la péter devant ses copines mais sans avoir l’intention d’assurer après…
      On décida avec Hafid de bouger dans un quatrième bar, plutôt une boite à after qu’un bar dansant, qui a l’avantage d’être gratuit (comme tous les endroits que l’on a faits ce soir-là). Arnaud nous a rejoints sur le chemin. Arrivé là-bas, qui vis-je ? Ma petite fille-de-l’Est en train de faire son show sur le podium en plein milieu de la boite !

      Après avoir posé mon manteau et enfilé mon boa, je l’ai attrapée par la main et lui ai fait coucou. Elle m’a reconnu, on a dansé un peu, escalade kinesthésique et zut pas de bisou, encore une fois. J’ai donc dansé avec sa voisine, puis 5 minutes après j’y suis retourné. Elle m’a remballé de nouveau… Pas de problème, je me suis dit que j’avais toute la nuit, j’ai senti qu’elle était attirée par moi et qu’elle finirait donc par passer à la casserole, ça prendrait le temps que ça prendrait.

      Je ne l’ai de nouveau plus calculée, puis je suis retourné danser avec, etc. Je lui ai ainsi soufflé le chaud et le froid une heure. A un moment, j’étais sur le podium et je vis une superbe blonde (8,5) qui arrivait sur la piste. Elle semblait être seule… mon sang ne fit qu’un tour et je me dis qu’il fallait que j’agisse vite avant qu’elle se fasse aborder. Je descendis du podium, Hafid et Arnaud n’étaient pas loin de moi. Je suis passé devant la blonde, me suis arrêté devant elle, l’ai regardée de la tête aux pieds… puis je lui ai sorti une ampoule de ma poche et l’ai mise au-dessus de ma tête comme si je venais d’avoir une idée et je lui enroulé le boa autour du cou.

      Je me suis reculé un peu, l’ai regardée, puis lui ai fait un signe du pouce pour lui montrer que ça lui allait bien. Elle m’a souri et m’a fait comprendre qu’elle était ravie. Je lui ai pris la main, l’ai fait tourner sur elle-même puis lui ai à nouveau fait mon signe du pouce. J’ai ensuite choppé Hafid et lui ai demandé de nous prendre en photo : elle s’est collée direct contre moi.

      Je me suis présenté en lui donnant mon prénom. Elle s’appelle Marion. Je lui ai pris la main et l’ai emmenée sur la piste de danse où j’ai commencé à la faire tourner sur elle-même puis collé-serré, devant la Russe qui, je l’ai bien remarqué, ne me lâchait pas du regard. Marion commença à vouloir me causer, me demanda d’où je venais, etc. L’objectif, à ce moment, était de maintenir la tension sexuelle jusqu’à l’embrasser, et pour cela la faire entrer dans ma réalité et ne surtout pas la laisser se raccrocher à la sienne. Je lui ai répondu que j’étais Australo-Chinois. Elle a ri, je lui ai demandé d’où elle venait en précisant que j’attendais d’elle qu’elle m’impressionne avec sa réponse. Elle ne sut pas quoi répondre, alors je l’ai aidée en lui proposant qu’on dise qu’elle était Plutonienne. J’ai brodé là-dessus avec différents arguments concernant son physique de Plutonienne, ses habits et son maquillage de Plutonienne, ses manières de Plutonienne (bref, je ne sais plus ce que j’ai raconté mais ça avait du sens sur le moment, enfin j’crois). Je lui ai demandé quand même si elle était venue seule et comment elle connaissait les gens, histoire d’avoir un peu plus d’éléments en tête et de ne pas me faire surprendre par son gars. Elle était venue avec une copine et un mec, qui étaient déjà en train de se rouler des pelles quelque part sur la piste, mais elle essayait de surveiller sa copine. J’ai soutenu le veinard en assurant la Plutonienne que je les avais à l’œil ; elle n’avait pas à s’en soucier. Finalement, elle est retournée un peu danser avec sa copine, moi j’ai attrapé le mec et ai commencé à lui taper la causette en lui disant de les ignorer 2 minutes. Quand les filles sont revenues, j’ai pris Marion et l’ai emmenée un peu plus loin pour danser collé-serré. Le problème c’est qu’en discutant avec le mec, il y a un truc qui m’a mis la puce à l’oreille sur son âge… apparemment elle serait au lycée : à moins d’être très en retard, ce doit être une gamine. Je me demande ce qui est le pire, prépubère ou demeurée ?

      Vous ne connaissez peut-être pas mon avis sur les filles de 17 ans qui viennent en boite bouger leur cul, mais pour moi c’est éliminatoire : tout le monde fantasme dessus mais on n’arrive jamais à les baiser parce que ce n’est pas ce qu’elles cherchent. Je fuis donc autant que possible ces filles car je me suis trop cassé les dents dessus. Je lui ai demandé si elle avait 17 ans. Elle me répondit que non, qu’elle en avait 18 1/2, mais avec un peu d’hésitation. Bref. J’ai donc continué, en dansant collé-serré et en l’embrassant dans le cou, tout en prenant garde à ce qu’elle ne soit jamais face à l’autre couple. En gros, quand on virevoltait sur nous-même, je tournais très lentement quand le couple était dans son dos et très vite quand il était face à elle. J’essayai de passer du cou à la bouche à plusieurs reprises mais elle me repoussait. Elle me disait qu’elle n’était pas une fille facile, qu’elle n’embrassait pas aussi facilement. Je répondis que c’était normal, parce qu’elle était Plutonienne et que sur Pluton les gens prennent beaucoup plus leur temps que sur la Terre, parce que la révolution de Pluton autour du soleil est de 243 ans et que du coup tout est ralenti. D’ailleurs, dans les boites on y danse fréquemment 3 ou 4 mois avant de s’embrasser ; moi ça me posait pas de problème mais on risquait de se faire virer de la boite avant… Elle a rigolé, puis finalement m’a mis au défi en me disant « OK, je veux bien t’embrasser mais à condition que tu embrasses bien ». Je lui ai répondu que j’allais lui imposer exactement la même condition. Je l’ai regardée profondément dans les yeux, et lui ai dit « on va tous les 2 s’appliquer pour que ça soit un des plus beaux baisers de l’histoire de Pluton… Tu représentes ton peuple alors il te faut assurer ! ». Puis s’en suivit un baiser effectivement plutôt réussi.

      Sa copine et le mec rôdaient dans le coin. Je lui ai demandé si elle avait Facebook et lui ai dit que je l’ajouterais à mes contacts car il faudrait qu’on essaye de se revoir. Elle était tout-à-fait d’accord. Je lui ai proposé qu’on aille s’assoir un peu plus loin pour que je prenne son nom, elle me suivit sur les canaps’, tout au fond de la boite, loin des 2 autres boulets. Je pris son numéro et la facebookclosa.

      Je suis parvenu, en la chauffant bien à lui glisser un petit bout de doigt dans la chatte. Je l’aurai volontiers emmenée aux toilettes (qui étaient juste à côté) pour la niquer mais les 2 autres se sont pointés et se sont posés sur le canap’à côté de nous pour se bécoter. On y est restés une bonne demi-heure, pendant laquelle j’en ai profité pour négocier une relation de « copine-coquine », en lui exposant ma vision des relations hommes-femmes.
      Elle me dit sortir d’une relation d’un an et demi et que donc elle était tout à fait d’accord avec ma vision des choses et qu’elle ne cherchait pas quelque chose de sérieux. Puis ils durent partir car ils allaient au lycée le lendemain (sic).

      Le lendemain, samedi, je reçus un SMS d’elle tard dans la soirée (4h du matin) disant « Je suis au bar mais tu n’es pas là ;-( » Pas de bol.
      Le lundi soir, je l’ai appelée pour prendre de ses nouvelles. J’ai fait un peu de confort, lui ait dit qu’elle avait l’air sympa et lui ai demandé quand elle serait dispo’ pour qu’on se voit. Elle m’a dit habiter à une vingtaine de kilomètres mais qu’elle pouvait se déplacer assez facilement à Aix et qu’on se reverrait soit le week-end prochain au bar soit dans la semaine car elle devait venir faire une soirée avec une copine.

      Vers 15h, j’étais en cours et je checkais mes actualités Facebook. Soudain, je suis tombé sur un message posté par Marion sur son mur, qui demandait : « Qq’un va au concert au Pasino ce soir ? ». Un plan diabolique me vint à l’esprit : la semaine précédente j’avais sympathisé avec une fille, Audrey, qui bossait aux entrées du Pasino et qui pour me remercier de mes bons soins m’avait déjà fait entrer gratis. Je l’ai donc contactée par SMS
      « Hello, tu fais le concert ce soir ?
      – Salut oui pk ?
      – Ben je sais pas… Tu crois que ça serait abuser que je m’incruste encore ?
      – Jpense pas que je suis dehors jtécris qd je sais. » Mon plan, c’est bien sûr de rencontrer « par hasard » Marion et de la ramener chez moi après le concert. Finalement, vers 18h30 Audrey me recontacta pour me dire qu’elle était à la dernière porte et que je pouvais venir. J’ai donc appelé Marion pour lui dire qu’on pouvait se retrouver au concert, mais elle me répondit qu’en fait, elle avait posté ça sur son mur parce qu’elle avait un billet mais pas de moyen de transport pour venir et que c’était donc mort pour elle. Que nenni ! Je répondis « pas de problème, moi aussi j’ai un billet mais j’ai pas envie d’y aller seul, alors si ça te tente je passe te prendre car je suis en voiture. » Elle était OK, j’ai donc fait l’aller-retour pour aller la chercher chez elle, et on est arrivés à 20h passés. Audrey n’était plus à la porte mais elle est finalement ressortie exprès pour me faire entrer, ouf. Marion avait des potes dans la salle mais elle suggéra d’elle-même de ne pas aller les voir.

      La première partie du concert était vraiment nulle, genre nulle à chier. J’ai chauffé Marion pour lui proposer d’aller aux toilettes. On est allés chez les filles, je suis entré avec elle dans une cabine et ai continué à la chauffer. Elle me demanda ce que je faisais, si ça n’allait pas la tête, etc. Je répondis « oui c’est vrai, c’est pas bien, on va aller en enfer, si on fait des trucs fous comme ça ». Ensuite, j’ai commencé à l’embrasser puis à la repousser en lui disant « mais arrête d’être excitante et sexy comme ça, je suis qu’un homme, si tu continues d’être aussi bonne, je vais devoir te mettre un sac sur la tête… ».

      Et c’était vrai que j’étais bien excité. Je lui ai mis la main sur mon entrejambe pour lui prouver ma bonne foi, tout en m’étonnant pour la forme : « Mais qu’est-ce qui m’arrive ? C’est tout dur là en bas ?! Vite, de l’eau froide, ça risque de dégénérer sinon… ». Là, elle me répondit en rigolant : « Ou alors si y’a pas d’eau, je peux utiliser ma langue ? » Je me suis arrêté de sourire, l’ai regardée dans les yeux. Là, elle s’est soudainement rendu compte qu’elle venait de dire un truc qui risquait de mal tourner pour elle et en baissant la tête tenta de se raccrocher aux branches : « heu…ou pas… »

      Je lui ai relevé la tête, la fixant dans les yeux et l’ai défiée : « chiche… ». J’ai ouvert ma braguette, sorti ma queue et l’ai regardée comme si j’attendais quelque chose de sa part. Elle se baissa spontanément. On est ensuite retournés dans la salle pour profiter du concert.

      Je préparais déjà l’après concert en lui demandant à quelle heure elle devait rentrer chez elle. Elle devait appeler son père quand ce serait fini pour qu’il vienne la chercher. Je lui ai dit qu’on pourrait quand même profiter qu’elle soit sur Aix pour passer chez moi voir mon chat. Je lui ai dit qu’elle pourrait même dormir chez moi et prendre le premier bus pour aller en cours le lendemain. Je l’ai laissée combiner avec son téléphone, envoyer des SMS pour arranger tout ça. J’dois dire, elle a géré comme un chef, une histoire de motivation sûrement.

      Après le concert, on est rentrés chez moi, et on a simplement baisé. Je lui ai demandé si elle avait déjà fait des plans à 3, elle m’a dit qu’elle avait justement des copines bi et qu’elle aimerait bien essayer. Elle serait sur Aix le lendemain avec une copine à voile et à vapeur, je me suis exclamé que c’était l’occasion et qu’on n’avait qu’à se voir le soir, boire un verre et plus si affinités. Elle était super partante !

      On s’est donné rendez-vous le lendemain chez moi à 22h. Elle se pointa le soir avec sa copine, avec 45 minutes de retard. J’avais fait venir mes deux potes qui avaient interdiction de les draguer (chasse gardée). J’ai proposé qu’on aille au bar gay où y a toujours une super ambiance et où je suis sûr de ne pas rencontrer de concurrence. En plus, c’est soirée rencontres gays là-bas les mercredi soir, une ambiance assez adaptée à la suite des évènements. J’y ai embrassé sa copine (Julia), elle m’a dit que d’habitude elles ont une règle qui est de ne pas coucher avec le mec de l’autre mais que comme je l’excitais beaucoup, elle allait faire une exception.

      J’ai alors jugé qu’il était temps de rentrer. Je leur ai dit qu’on rentrait, mes potes ont compris qu’ils devaient rester sagement dans le bar à se faire mater et ne pas nous suivre. Dossiers n°46 et 47 de ma vie : elles prirent leurs manteaux, on est allés chez moi, tout s’est passé naturellement, la vie est belle.

      Pourvu que ça dure.

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